Olivier Pons - Presse

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Paganini, Concerto N°1

« Un concert excellent, il n’y a que de bonnes choses à dire du soliste Olivier Pons. Il a joué ce concerto exigeant en montrant une grande maitrise, de la passion, et une intime compréhension du style du Maitre. Je ne pus qu’admirer la technique d’archet, sa précision rythmique et la beauté des effets spéciaux comme les doubles harmoniques. Pons a un instrument qui sonne très bien, offrant un son clair et riche. Dans le premier mouvement, Pons a joué la longue, vertigineuse cadence, posant toutes sortes de défis ; l’exécution en a été quasi parfaite… »
Finlande : Länsi-Väylä, Markus Lång

« Le français Olivier Pons s’est montré à la hauteur de la tâche. Les ingénieuses visions du compositeur se sont développées, dans leurs formes et leurs thèmes, vers une belle unité, dans l’interaction entre le soliste et l’orchestre. Pons fait sonner son violon avec un charme immaculé, sa flamboyante virtuosité a traversé brillamment l’immense cadence qui finit le premier mouvement. »
Finlande : Västra Nyland, Anders Riska

« En soliste, ils avaient un violoniste au top : Olivier Pons, de France. Il a joué le plus difficile concerto de Paganini magnifiquement, un sans-faute, du jamais vu en Finlande. Peut-être Heimo Haito dans ses meilleurs jours a pu faire sonner Paganini de façon comparable. Ayant moi-même, dans ma jeunesse, travaillé le violon, je ne peux que m’émerveiller de l’aisance avec laquelle le jeune français a joué les torrents de notes, spiccato et harmoniques. Tout cela avec un timing idéal et une spiritualité captivante. »
* Violoniste finlandais qui commença une très brillante carrière avant la deuxième Guerre mondiale
Kirkkonummen Sanomat : ”HIRVI”


Bach-Paganini-Ysaye

« …Olivier PONS, violoniste international, a joué la Partita en Ré min de J-S Bach. Le phrasé de bon goût était construit de longues lignes, avec la plus grande précision, dans le meilleur respect de l’esprit de l’époque. Des Tempi parfaits, confortables dans une communication intime avec l’instrument, un Jean-Baptiste Vuillaume de 1827. Pons ose garder le troisième mouvement « Sarabande » dans un calme paisible et un très doux pianissimo, sans cependant perdre la direction et l’expression d’une danse. En un mot : Parfait.
… l’énergie et l’intensité de Pons dans la troisième Sonate d’Ysaÿe, donne une tension dramatique extrême dans les très beaux passages de doubles cordes… »
Aland, Suède, avril 2005


Prokofiev

« …dans le troisième mouvement (lent), Pons a montré clairement qu’il a étudié avec des Maîtres Russes par son interprétation approfondie. Il a réussi incroyablement à faire vivre la musique de l’âme Russe. »
Syd-Österbotten (Finlande)


Récital violon-piano

« Olivier Pons s’affirme comme l’un des plus brillants violonistes de sa génération. En soliste ou en musique de chambre, sa prodigieuse virtuosité n’est que l’une des facettes d’un talent qui est d’abord celui d’un musicien au goût très sûr et au style irréprochable. »
Ouest-France

« …l’émotion était palpable tout au long de la soirée. Quelques larmes parmi le public, et un tonnerre d’applaudissements a salué cette prestation magique. »
Ouest-France


Album « Poème » 2021

« …C’est un vrai moment d’évasion, de tendresse et d’intensité, comme en témoigne le déchirant Prélude et allegro dans le style de Gaetano Pugnani de Kreisler. (…) La célèbre sonate N°2 en ré majeur de Serge Prokofiev retrouve ici ses lettres de noblesse. D’admirer la richesse de la palette de couleurs, la qualité du tissu sonore dense et subtil à la fois, le naturel du phrasé. Les deux protagonistes partagent la même vision de la partition, qu’ils nous livrent ici avec une grande acuité musicale et une belle éloquence. »
Utmisol

« Le Poème de Ernest Chausson, à l’atmosphère radiante, à l’origine pour violon et orchestre, va compléter l’ensemble, avec la sentimentalité la plus touchante qui soit, et c’est seulement la seconde sonate de Prokofiev, qui va se démarquer de l’esthétique générale.
Avec cette pièce si merveilleusement mélodieuse et fraiche, il faut une certaine indulgence, mais lorsqu’elle est jouée comme ici, avec une telle maîtrise du discours musical, et une telle finesse sonore. Gräsbeck et Pons parviennent à saisir le caractère spécifique de chaque pièce avec une idéale acuité, et le Bösendorfer du Palais de la noblesse sonne délicieusement. »
Finlande, Hufvudstadsbladet : Matts Liljeroos

« Par dessus tout, le violoniste Olivier Pons se jette dans ces pièces de genre avec une véhémence et un enthousiasme complets. Son jeu est caractérisé par une puissante pression d’archet et une sonorité large, ce qui peut venir de son éducation comme petit fils pédagogique de David Oïstrakh. Son approche est soutenue par une grande maitrise technique. »
Luxembourg, Pizzicato

« C’est un disque qui semble être affreusement banal, voire un peu désuet. Et pourtant, dès les premières secondes, la magie opère. En effet, le « Prélude et Allegro » de Fritz Kreisler vous captive instantanément. L’entente et la complicité entre Olivier Pons et Folke Gräsbeck est manifeste. (…) La « Sonate numéro 2 » de Prokofiev est d’une élégance rare. Je suis resté impressionné par le phrasé et la musicalité d’Olivier Pons. C’est comme s’il arrivait à trouver une voie de traverse permettant de concilier les différentes facettes de l’écriture de Prokofiev. Il y a comme un équilibre entre le lyrisme et les côtés plus rugueux de cette sonate qui sont présentés ici dans une sorte de continuité naturelle et poétique. »
France, Audiophile, « Grand frisson 2021 »

« Olivier Pons, qui a étudié en Russie et travaillé longtemps en Finlande, est un violoniste français : Le Prélude et Allegro « à la Pugnani » de Kreisler révèle qu’il est aussi un virtuose de sang, ce qui aurait plu à Sibelius, qui dans ces pièces tardives, se laisse emporter par la musique de sa jeunesse et ses rêves de devenir violoniste. La maîtrise souveraine de la tradition russe apparaitra dans la Sérénade mélancolique de Tchaïkovski et se montrera avec encore plus d’acuité dans la première sonate pour violon de Prokofiev, où le pianiste Folke Gräsbeck va aussi montrer son excellence.
Le plus intéressant de ce répertoire large et varié est les morceaux non-enregistrés auparavant de Oskar Merikanto. Il est difficile de comprendre comment une perle mélodique comme la Berceuse op.92 N°8 a pu rester cachée jusqu’à maintenant. L’Air et les Variations sur un thème folklorique sont aussi de belles découvertes. Après Merikanto, l’écoute de sonate de Prokofiev - à l’origine pour flûte et piano - nous rappelle que ce compositeur russe était également un brillant mélodiste, même si l’idiome touche le modernisme. Le disque se termine par le Poème du français Ernest Chausson, au pathos sombre, que Pons déploie sans crainte et avec une poigne impétueuse. »
Finlande, Rondo Classic