Terpsycordes - Presse

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Sternstunde klassischer Kammermusik - Schaffhauser Nachrichten

"Um es gleich vorwegzunehmen: Was das Streichquartett Genfer Quatuor Terpsycordes am Sonntagabend in der Klosterkirche Paradies beglückend dargeboten hatte, ist auch mit Superlativen kaum zu beschreiben!"
"Ihr Spiel zeigte sich spritzig und spannungsreich, zugleich war es von höchster Einfühlsamkeit und inniger Beseeltheit mit allerfeinsten dynamischen Nuancen."
 

Gisela Zweifel-Fehlmann

SCHLATT/PARADIES Streichquartette von Joseph Haydn, Frank Martin und Franz Schubert standen auf dem dichten Programm, welches das international zusammengesetzte, preisgekrönte Spitzenensemble mit nicht zu übertreffendem, unglaublichem Können und höchster Empfindsamkeit darbot. Die Musikerinnen und Musiker Girolamo Bottiglieri und Raya Raytcheva, Geigen, Caroline Cohen-Adad, Bratsche, und Florestan Darbellay, Cello, wussten die zahlreichen Zuhörer tief zu bewegen und hellauf zu begeistern.
 

Joseph Haydn als «Erfinder» der Streichquartette

68 Streichquartette hatte Haydn im Lauf seines Lebens geschrieben, welche durch ihre Originalität ein grosses Vorbild auch für Wolfgang Amadeus Mozart waren. Das Quatuor Terpsycordes hat es sich unter anderem zur riesigen Aufgabe gemacht, sie allesamt auf CD’s einzuspielen. So erstaunte es nicht, eine mustergültige Interpretation des Haydn-Quartetts in G-Dur op. 33/5 zu Gehör zu bekommen. Die vier Künstler bewegten sich wie der Fisch im Wasser des empfindsamen Stils. Ihr Spiel zeigte sich spritzig und spannungsreich, zugleich war es von höchster Einfühlsamkeit und inniger Beseeltheit mit allerfeinsten dynamischen Nuancen.

Das gemässigt moderne Streichquartett des Welschschweizer Komponisten Frank Martin von 1967 berührte mit (jüdisch?) angehauchten Klagemelodien ausdrucksvoller Solostellen. Über leidenschaftliche Aufschreie folgten leise Töne, die resignativ in hauchzartestem Pianissimo verklangen. Ein melodiöses Larghetto erinnerte an das klangschöne Air von Johann Sebastian Bach. Ein virtuoser Satz im schnellsten Prestissimo mit höchster Perfektion des Zusammenspiels, sowie ein filigranes munteres Allegretto liessen die reichhaltige Musik Frank Martins in vielseitiger Gestalt erklingen.
 

Der Tod und das Mädchen

Dieser Titel des späten, umfangreichen Streichquartetts in d-Moll D. 810 von Franz Schubert, mit dem er das konventionelle kompositorische Schema der Wiener Klassik aufbrach, deutet auf ein Gedicht von Matthias Claudius hin, wo der Tod als sanfter Freund eines jungen Mädchens erscheint. Das packende Werk ist von trauriger, resignativer Stimmung und zugleich voller Kontraste, welche die Musiker mit leidenschaftlichen, temperamentvollen Ausbrüchen und traumhaft schönen Momenten von überirdischer Zartheit gestalteten. Der berühmte zweite Satz schafft mit thematischen Variationen einen Bezug zu Schuberts besagtem Kunstlied. Das Werk mündete in einen letzten Satz von atemberaubendem Tempo und unglaublicher Präzision. Erst die Zugabe des lieblichen langsamen Satzes aus Haydns Streichquartett op. 76/5 liess wieder befreit aufatmen. Mit allerfeinsten Schattierungen bildete sie einen versöhnlichen Schluss von ergreifender Abgeklärtheit. Das Konzert war ein tief berührendes, nachhaltiges Erlebnis, das nicht mehr zu toppen ist.

(Legende zum Bild von Barbara Binzegger:)
Das Quatuor Terpsycordes schenkte seinen Zuhörern eine seltene Sternstunde
 

L'écho des pavanes (mai 2021) - Listen to the programme : hier
Terpsycordes joue Haydn par le menu


Scènes Magazine (février 2021)
"Enthousiasme". Entretiens avec Florestan Darbellay et Girolamo Bottiglieri par Pierre Jaquet
Extraits:

"Florestan Darbellay, vous travaillez sur une intégrale Haydn. Parlez-nous de ce projet, de ses enjeux."

- FD (...) Quand j'ai rejoint Terpsycordes l'année passée, le projet avait déjà débuté: environ 10 à 15 oeuvres avaient été abordées. C'est une opération de longue haleine qui devrait durer... 7 ans au total. Souvenez-vous qu'il y a 69 pièces! Je discerne dans cette vaste entreprise une occasion pour la formation de se forger une nouvelle identité, par un travail de fond. C'est effectivement un grand chemin à suivre, (...) mais c'est un monde à découvrir ensemble! Cela favorise un nouvel équilibre dans le Quatuor.

"Comment s'est déroulé votre intégration dans le quatuor? (...)
- FD (...) Tout cela s'est développé de manière fluide, naturelle. En somme nous nous retrouvons à créer ensemble à 4: ils apportent l'expérience, et moi une sorte... disons de fraicheur. Cela a été, et c'est décidément, très agréable. (...)

"Girolamo Bottiglieri (ndlr. au sujet de Beethoven- Schubert, Conversation de deux génies / Post-Scriptum 1826), comment voyez vous personnellement chacune des deux esthétiques en ce moment précis?"
- GB (...) Beethoven exprime un ressenti individuel. Il atteint une dimension transcendante. Je discerne comme une attirance vers le sublime. Chez Schubert, il y a, dans ce dernier quatuor, quelque chose de nouveau, pas forcément retrouvé ailleurs dans sa production pour les 16 cordes... J'ai envie de dire d'opératique...
(...) Leurs mondes sont très personnels. En revanche, la juxtaposition des mouvements de l'un et de l'autre donnent une clef, une capacité de comparaison sur les plans de l'écriture et de la sensibilité, de l'un comme de l'autre.


Les premiers quatuors à cordes de Wolfgang Amadeus Mozart par Michel Rusquet - musicologie.org
De proportions encore modestes, ces quatuors « milanais » exhalent un charme printanier irrésistible, et le Mozart de la maturité s'y manifeste déjà par brèves prémonitions fulgurantes. »  À cet égard, certaines pages constituent des sommets, à commencer par le joyau de la série, le K 156 en sol majeur, et surtout son sublime Adagio dont « les modulations, les dissonances et les chromatismes pathétiques ne sont qu'à Mozart », mais aussi (pour se limiter à un autre moment parmi les plus frappants) le « grand Allegro central en sol mineur [du K 159 en si♭majeur], déchaînement de violence passionnelle grandiose et sombre, — l'un des sommets du Sturm und Drang chez le jeune Mozart […] La fragmentation des motifs, la fréquence des modulations chromatiques y poussent l'inquiétude à son comble : c'est déjà le grand Mozart « démoniaque » qui s'exprime ici dans sa tonalité de prédilection. » Article online : HIER


Le parc des Bastions, enclave de Buenos Aires - 10 juillet - Article online : HIER
Tribune de Genève, Rocco Zacheo
Sur les notes de Piazzolla, mais pas seulement, le quatuor Terpsycordes a ouvert à Genève un nouveau rendez-vous gratuit.


Ecouter l'émission : HIER
Cet été cʹest Concerts ! - 24 juillet - Quatuor Terpsycordes

Musée dʹArt et dʹHistoire, Genève
Joseph Haydn : Quatuor op. 76 N° 1 en sol majeur
Anton Webern : Langsamer Satz pour quatuor à cordes
Ludwig van Beethoven : Quatuor à cordes op. 18 N° 6 en si bémol majeur, La Malinconia


Avril 2020
François Grin quitte le Quatuor Terpsycordes

Après 20 ans d’une collaboration intense et fructueuse, et de nombreux concerts, François Grin quitte le Quatuor Terpsycordes. Nommé directeur musical du Conservatoire de musique Montreux-Vevey-Riviera, il se consacrera désormais pleinement à ce nouveau poste et à ses activités musicales personnelles. Les Terpsycordes lui souhaitent tout le meilleur pour cette nouvelle aventure et ils se réjouissent d'ores et déjà de le retrouver aux Concerts d'été à St Germain ainsi qu'au Festival classique des Haudères.
C'est le violoncelliste genevois Florestan Darbellay qui prendra le quatrième archet dès la reprise des activités du Quatuor.


Notre pièce de théâtre musical Post-Scriptum 1826 a vu le jour le 9 mars dernier au Théâtre Les Salons, avant de voir les représenations suivantes annulées (suite aux mesures CoViD19).
 
"Les Terpsycordes ont merveilleusement choisi les extraits des derniers quatuors de ces deux compositeurs: quand la musique prolonge les mots des comédiens, l'imaginaire se met en route: le public entre dans une rêverie, et les notes arrivent chargées de sens et d'émotions nouvelles..." C.R.

La salle était comble pour cette première de Post-Scriptum 1826 au Théâtre Les Salons de Genève : sur scène, c'est dans sa chambre que Beethoven, dans ses derniers jours de vie (incarné par le comédien et metteur en scène Alain Carré) reçoit le jeune Schubert (interprété avec fougue par Dejan Nikolic).


Mars 2020
Interview d'Alain Carré sur bythelake, par Pascale Rousseau

Pascale Rousseau : En tant qu’auteur, comment avez-vous travaillé et construit le spectacle ?
Alain Carré : Pour l’écriture du texte, je me suis basé sur les écrits de Schubert et Beethoven. Je les ai malaxés, redistribués pour en faire un dialogue à partir des 11 000 pages des carnets de conversation de Beethoven. Etant sourd, il écrivait tout pour se faire comprendre et je me suis inspiré aussi bien sûr de la correspondance de Schubert. Ce spectacle est construit comme un concerto avec au départ une partie andante, une partie adagio où l’on va sur des thèmes beaucoup plus profonds, et scherzo pour nous diriger vers une fin dramatique.
Lire l'interview en intégralité ICI


le 8 mars 2020 Tribune de Genève
Beethoven et Schubert se disent adieu à Genève Concert
Le Quatuor Terpsycordes et Alain Carré ont imaginé une rencontre entre les deux compositeurs.
Das Artikle HIER


Meilener Anzeiger, le 16 janvier 2020
Genial interpretiert - Das «Quatuor Terpsycordes» aus Genf impressionistisch, Bandoneon-Gastsolist William Sabatier mit wärmendem Tango: Dem Element Feuer als Konzertmotto wurde alle Ehre getan. Das Artikle HIER



"Das renommierten Terpsycordes-Quartett und Pianist Yuka Oechslin liessen den Zyklus der Vier-Jahreszeiten-Konzerte in der Kirche Blumenstein kontrastreich ausklingen. Girolamo Bottiglieri, Raya Raytcheva (Violine), Blythe Teh Engstroem (Viola) und François Grin (Violoncello) packten den Ludwig-van-Beethoven-Saison-Schwerpunkt mit dem Quartett Nr. 13, B-Dur, op. 130, eines seiner anspruchsvollsten Gipfelwerke..." Montag 21. Januar 2019 von Heidy Mumenthaler, (Thuner Tagblatt)


Eine CD Vierne mit  Mūza Rubackyté ist im Mai  2016 bei  Brilliant Classics erschienen

" Die grandiose Muza, die uns bereits eine bewundernswerte pianistische Anthologie von Vierne präsentierte, trifft hier den richtigen Ton: kraftvoll, erbittert auch sehr nuanciert. Sie spielt hier, begleitet vom Streichquartett Terpsycordes, mit seinen Musikern, die in der Lage sind, unermüdlich die komplexe und dichte Tonsprache zu interpretieren." Musikmagazin: Classica-  Jacques Bonnaure, 4 Sterne für die CD Vierne, Juli 2016

" Diese Aufnahme wird durch das sehr schöne Klavierquintett op 42 ergänzt, ein Werk, welches zum Gedenken des im 1.Weltkrieg gefallenen Sohns komponiert wurde. Unsere Pianistin liefert uns hier, mit dem Terpsycordes Streichquarett eine ergreifenden Interpretation dieses Quintetts in c-moll, ein schmerzvolles Werk, in dem wir jedoch einige Hoffnungsschimmer eines Komponisten sehen, der seinen Glauben nicht verloren hat." Christophe Bernard, Utmisol, November 2016

Ein sehr schönes Werk und ein besonderer musikalischer Moment!“

The last review about the CD Vierne in FANFARE MAGAZINE (USA) :

"... we have the piano quintet — a full-fledged near-masterpiece of a composition written in 1917 after receiving news that his 17-year-old son had been killed in action in the war. The work is full of passionate grief, sorrowful longing, and bitter melancholy. It is in many ways the equal of the Franck Quintet in musical substance and, perhaps, even surpasses it in excellence. Written in the chromatic style typical of the late-Romantic French composers, Vierne launches the first movement in C Minor, where two main themes are developed.
The second movement continues the somber mood and it is not until the third and final movement that an agitated mode breaks out with pounding keys and vehement strings. This vigorous music collapses into an eerie stillness, where the first movement’s passionate theme reappears, only to be exploded with a fiery coda.
Yes, this music is “green” all the time for me—it is excellent through and through. The Terpsycordes Quartet, anchored at the piano by Muza Rubackyte, perform the daylights out of it, giving full sway to the emotional content in a satisfying and dynamic performance.
I am familiar with just one other performance of the Piano Quintet, and that is by Le Groupe de Chambre de Montreal on a Musica Viva CD from 1995. (...) I think their performance is quite fine, but I like Muza Rubackyte and team even more for their more emotional performance. (...) What I can say with assurance is that this present release is excellent in every way and it does Vierne and his powerful piano quintet proud."
(...)
"The Piano Quintet is a wonderful work, very well performed and recorded and well worth your attention."

(Mark Novak, Fanfare Magazine, 2016)

Critique sur le dernier cd : Franz Schubert, Quartettsatz D 703, Quatuor No 15 D 887, Ed. Ambronay.

Un quatuor symphonique

Un quatuor «symphonique»D’aucuns lient le Quartettsatz de Schubert au quatuor La jeune fille et la mort. Les musiciens du Quatuor Terpsycordes ont fait le choix de l’enregistrer en même temps que le Quatuor No 15, soit l’ultime de Schubert. Ces pages oscillent toujours entre la dentelle mélodique, le cadre intime dans lequel était jouée la musique de chambre et leur force expressive, puissante, parfois même rugueuse. Pour retrouver la délicatesse autant que l’urgence de la musique de Schubert, les Terpsycordes ont monté leur propre instrument avec des cordes en boyau et jouent avec des archets du XIXe siècle. Au-delà de la recherche de fins détails, sur l’articulation et l’interprétation historique, c’est aussi sur la longueur du discours, le souffle qu’il faut tenir de bout en bout, que les musiciens œuvrent, pour rendre passionnant ce quinzième quatuor aux dimensions quasi symphoniques (peu ou prou 45 minutes). Le pari est tenu.

Le Quatuor Terpsycordes confirme ainsi son inspiration schubertienne (après un premier disque consacré aux quatuors Rosamunde et La jeune fille et la mort). Lauréat d’un Premier Prix au Concours de Genève en 2001, il se produira le 11 novembre prochain au Victoria Hall dans le cadre du concert de gala des anciens lauréats. EH, La liberté.CH

Écoutez l'émission Magma du 17 septembre 2015 sur RTS  en cliquant iciEcouter 

"une intonation impeccable, pas de chichis interprétatifs, pas de soufflets ou autres idiosyncrasies à l’ancienne, une grande finesse de sonorité, et surtout une gestion toujours très sûre du flux musical. On est pris par leur discours de bout en bout en l’on goûte à la fois les qualités sonores de chacun et de l’ensemble " Vagnethierry.fr

Wanderer sans fard : Le Quatuor Terpsycordes mène Schubert vers le XXème siècle

" Le Quatuor Terpsycordes joue brillamment d'un extraordinaire paradoxe : exhaler le caractère résolument moderne de cette musique tout en utilisant des instruments d’époque. Pas question alors de laisser Schubert le Wanderer zigzaguer dans le brouillard : les Terpsycordes savent très bien où il vont. Comme dans leur enregistrement de La Jeune fille et la mort, paru en 2008, ils s’affranchissent de tout sentimentalisme refusent le moindre épanchement, le plus petit effet de manche, le coup d’archet à vous fendre le cœur, et donc tout vibrato. D’aucuns pourraient penser que cette façon d’aborder Schubert tend vers la sécheresse. Elle en donne au contraire une vision tout autre, nimbée d'une autre forme d'émotion, plus âpre, sans diminuer la tension permanente entre l’angoisse et la sérénité. " Gérard Pangon, Musikzen

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Le Quatuor Terpsycordes passionné dans Schubert

"Le jeu des Terpsycordes se mue tantôt en déchaînements nerveux ou bien à l’opposé en d’angéliques pianissimi, transfigurant l’incroyable inspiration schubertienne.

Car on remarquera dès ce « Quartettsatz » introductif un élément des plus marquants : en effet, les interprètes ayant adopté le jeu sur des instruments authentiques ne possédant pas toutes les capacités expressives des instruments d’aujourd’hui (cordes en boyau, etc.), ils auront eu à cœur d’accentuer les contours, les nuances, les dynamiques de cette musique…

Un choix d’une merveilleuse intelligence permettant de goûter au maximum de leur potentiel expressif les coups de théâtre, les soubresauts, les recoins d’ombre et autres rais de lumière. En d’autres termes : la musique elle-même, poussée à son plus intense paroxysme expressif." Thomas Vergracht, Resmusica

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Le Quatuor Terpsycordes s'est produit le 26 avril dernier à l'Eglise St Germain (Genève) pour soutenir le projet de l'Accademia d'Archi "Orchestre en classe". Il est heureux de parrainer ce projet qui vise à offrir aux plus jeunes, dans le milieux scolaire, la possibilité de pratiquer un instrument. Voici l'article paru dans Le Temps avant le concert.

" C’est un joli projet à accompagner. Un de ceux qui signalent l’importance du développement harmonieux de la jeunesse, grâce à une éducation complète. A Genève, les activités d’orchestre en classe sont défendues par certaines écoles de musique et orchestres, dont le Conservatoire populaire et l’OSR notamment. Les enfants n’ayant pas accès à la musique classique peuvent ainsi entrer en contact pour pratiquer en groupe une discipline habituellement réservée à des couches sociales favorisées. Sur le modèle du Sistema vénézuélien fondé il y a trente ans par le chef José Antonio Abren, le principe a fait des émules. L’école Accademia d’Archi pilote aujourd’hui quatre unités d’orchestre de cordes en classe, à Chêne-Bourg et Thônex. Acquisition d’instruments, salaires d’enseignants, locaux… Les mécènes s’investissent sur des périodes limitées, et les restrictions budgétaires ne permettent pas à l’Etat de soutenir ces projets sur le long terme. Le directeur de l’organisme, André Rochat, part donc en croisade pour récolter des fonds. Un concert de soutien est ainsi organisé ce dimanche à l’église Saint-Germain à 17h. Le quatuor Terpsycordes, parrain de l’orchestre en classe, affiche Haydn, Ravel et Schubert. Les quatre musiciens croiseront l’archet pour une belle cause. "

Le Temps, le 23 avril 2015, Sylvie Bonier


CD avec Maël Godinat Trionyx

Lire l'article sur Le Courrier du 28 mars 2015


ScholssKonzerte Spiez (Berne)
« Das Quatuor Terpsycordes spielt es schonungslos mit drängender Intensität und pulsierender Wucht. Die Welschen zeigen mit Ausnahme des stoisch,aber nicht unbeteiligt wirkenden Cellisten François Grin ein sehr körperbetontes Spiel. Furios der erste Geiger Girolamo Bottiglieri, katzengewandt die Violinistin Raya Raytcheva, präzis mitgestaltend die Bratschistin Caroline Cohen-Adad. »
Svend Peternell, OB - Berner Oberländer mai 2015


"Das Ensemble verfolgt mit Aufmerksamkeit das aktuelle musikalische Geschehen une ermöglicht immer wieder Uraufführungen zeitgenössischer Werke. Regelmässig ist das Quartett auf den grossen Konzertbühnen anzutreffen, zahlreiche Auszeichnungen belegen die Wertschätzung, welche das "Quatuor Terpsycordes" in der Fachwelt kennt. Die Konzerte und Tonaufnahmen dieses Quartetts "zeugen von einen Interpretation, die Feinheit mit Fantasie verbindet, gestützt auf eine gründliche Analyse der Partituren und der Stile", hielt denn auch ein Musikkritiker fest."
Walliser Bote, blo


Ein Konzert des Streichquartetts Terpsycordes, unterstützt bei diesem Anlass durch eine „Light show „ des Duos Sigmasix. Auch diesmal, ein begeistertes Publikum und ein unglaublicher Triumph für das Werk „Der Tod und das Mädchen“, verklärt und gesteigert durch Mittel, die man nicht unbedingt in diesem Rahmen gewohnt ist. (Was vor allem bei diesem Konzert angenehm auffiel, war die lange Dunkelheit zwischen den goldenen Verzierungen der Victoria Hall, nur gerade durchbrochen durch die abgedämpfte Beleuchtung der Notenpulte.) Begeisternd war auch der Elan und die musikalische Intensität , die das Ensemble auf der Bühne ausstrahlte. Hinzu kam noch die Lichtregie, die außerordentliche Stimmungen erzeugte und die intensive Schubertsche Narration unterstrich. „Aufrüttelnd“ !“ TRIBUNE DE GENEVE Juni 2014

"Mit Györgi Ligetis « Metamorphoses nocturnes » eröffnete das in Genf ansässige Quatuor Terpsycordes den laufenden Meisterzyklus der St. Galler Tonhalle – packend, elektrisierend und intelligent. Ebenso wohl fühlen sich die vier bei Beethoven ; sie spielen ihn auf historischen Instrumenten des Geigenbauers Vuillaume, bespannt mit Darmsaiten. Zeitlich liegen die Quartette op. 18 Nr. 6 und op. 132 weit auseinander ; gleichwohl wirken sie seelenverwandt in der Stimmung. « Con intimissimo sentimento » : Das gibt der Aufnahme den Titel. Die Melancholie wird in nuancierten, stets hellhörigen Zusammenspiel aufs schönste wachgerufen – und zugleich überwunden." St Galler Tagblatt 2013


 „Innerhalb von 16 Jahren Karriere hat das Streichquartett Terpsycordes eine unglaubliche Technik und ein perfektes Zusammenspiel erreicht“. 24 Heures, Juni 2013


Das Streichquartett Terpsycordes hat das Publikum gleich in seinen Bann gezogen. Das Konzert begann mit dem Quartett op 20 von J. Haydn. Sofort vereinigen sich die großmütigen Temperamente der Interpreten zu einem lebendigen Zusammenspiel, wunderbar phrasiert“. L‘EXPRESS Februar 2011